erog1

Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 09:45

Toi

Je suis étalé sur le canapé à regarder les informations à la télévision. Je n’aime pas trop être dérangé quand je regarde les infos. J’aime bien comprendre ce qui se passe dans le vaste monde bien que souvent ils racontent tout le temps la même chose.


Tu es venue te couler à mes cotés avec un petit regard entendu. Tu as glissé la tête au creux de mon épaule mais tu ne sembles pas intéressée par la télévision. Tu promènes une main chaleureuse sur mes cuisses, sur mon ventre, mon torse. Je sens bien que tu en veux plus. Mais ce soir j’ai décidé de te laisser faire. Et tu deviens de plus en plus entreprenante.


Tu déboucles ma ceinture. Et tu tires sur mon polo pour l’extraire du pantalon. Ta main se promène maintenant à même ma peau, me caresse le ventre et remonte sur ma poitrine. Tu t’attardes sur mes tétons que tu tripotes et pinces à plusieurs reprises.


Tu finis de déboutonner mon pantalon. Ma braguette est grande ouverte. Tu me palpes le sexe à travers le slip. Et tu t'aperçois bien vite que je ne suis pas indifférent à tes caresses. Alors tu t'introduis dans mon slip et tu prends mon pénis à pleine main pendant qu'il grossit.


Tu me retires mon polo, me voilà torse nu. Tu me caresses et m'embrasses le ventre et la poitrine. Tu me lèches. Tu me mordilles, t'attardant une nouvelle fois sur mes tétons.


Tes mains ne sont pas inactives, l'une me parcourt le dos, l'autre l'entrejambe. Mais bientôt tu m'ôtes mon pantalon, en profitant au passage pour me caresser les cuisses et les jambes. Et bientôt mon slip va rejoindre le reste de mes vêtements qui gisent au pied du canapé.


Je suis entièrement nu. Tu sembles apprécier. Tu me détailles du regard. Et tu joues un instant de tes doigts avec mes poils pubiens. Tu donnes quelques chiquenaudes à mon sexe turgescent.


Tu me caresses l'intérieur des cuisses pendant que ta bouche s'affaire de nouveau sur mon ventre et sur mes tétons. Mon sexe est en parfaite érection. Tu as pris soin de bien faire sortir le gland. Mais tes mains et ta bouche sont terriblement affamées ce soir. Tu as envie d'autres caresses. Tu t'assoies bien droite sur le canapé et Tu me demandes de me mettre debout entre tes jambes de dos tout d'abord.


Pendant que tu m'embrasses et me lèches le bas du dos, les fesses et le haut des cuisses, tes bras m'enlacent et permettent à tes mains de jouer avec mon sexe. Tes doigts lui font comme un étui ou vont palper mes bourses.

Par derrière, tu remontes ta main droite entre mes jambes, toujours plus haut, m'obligeant à écarter légèrement les cuisses. Tu m'attrapes la verge que tu sers fortement puis les bourses.

Tu fais glisser un doigt de mon scrotum, sur mon périnée vers l'arrière. Sans t'arrêter, tu remontes la raie de mes fesses. Tu recommences ce mouvement plusieurs fois d'avant en arrière, de mes bourses jusqu’à mes reins en passant par la raie des fesses.


Tu as mouillé ton doigt de salive pour qu'il coulisse mieux. Lors de ce dernier passage tu t'es arrêté à l'anus. Tu me caresses doucement l'anus, en tournant du bout du doigt. Tu remouilles ton doigt de salive et tu me l'enfonces avec détermination dans l'anus. Tu lui imprimes un léger mouvement de va et vient.

Et puis tu me demandes de me pencher en avant en écartant les jambes. C'est ta bouche et ta langue qui maintenant s'occupent de mes fesses, de mon cul, de l'intérieure de mes cuisses, de mes testicules et de mon pénis qui pendent ainsi à ta merci. Tu t'en amuses, tu joues avec, des lèvres, des dents, de la langue.
Il te faut passer à d'autres jeux.

Tu me demandes de me retourner. Je te fais face. Puisque tu es assis, ce sont plutôt mes attributs qui te font face. Tu ne te gênes pas pour les regarder, les palper, les soupeser, les renifler. Tu promènes mon gland sur ton visage, lui donnes de petits baisers, puis l’avales d’un coup. Tu absorbes mon pénis le plus qu’il t’est possible. Tes fines lèvres forment un fuseau qui le masse délicatement.


Tes mains ne sont pas en reste qui me prennent à pleine poignée les fesses, ou caressent ma poitrine et me pincent les tétons, ou parcourent l’intérieur de mes cuisses et me prennent les bourses. Tu vas me faire mourir de plaisir. À mes gémissements, à mes tortillements tu as senti que je suis sur le point d’éjaculer. Alors tu cesses quelques instant tes caresses.


Il semble que ce n’est pas de cette façon que ce soir tu comptes me faire jouir. Tu ôtes alors pull et soutien-gorge. Tu te saisis de nouveau de ma verge que tu promènes cette fois-ci sur ta poitrine gonflée, les tétons dressés. Puis tu places mon pénis entre tes seins que tu refermes sur lui des deux mains. C’est ce fuseau là qui va me faire jouir.


Tu me branles. Ma verge est prisonnière de tes magnifiques seins. Je suis au bord de l’extase. Je me tiens au dossier du canapé et dans un cri je lâche ma semence sur ta poitrine. Ton cou, le haut de ta gorge sont couverts de sperme qui finit par couler entre tes seins vers ton ventre.


Mais tu n’en as pas fini avec moi. Tu ôtes pantalon et string et tu me fais accroupir entre tes jambes. Tu te saisis de ma tête que tu enfouis entre tes cuisses.

Mon nez, mes lèvres, ma langue sont autant d’instruments qui vont te servir à caresser, embrasser, lécher, tes cuisses, ta vulve, tes grandes lèvres, ton clitoris. Tu as placé mes mains sur ta poitrine pour que je la pétrisse toute collante de sperme et que je triture tes tétons, deux petits dards fièrement dressés.


Tu diriges ma tête là où tu désires être sucée. Tu l’éloignes où la rapproches pour prolonger ton plaisir. Mais bientôt tes râles et gémissements, ton agitation me montrent que tu es au bord de l’orgasme. Une dernière fois tu plaques ma bouche sur ton clitoris que je prends entre mes dents et … tu jouies ma chérie.


Nous sommes restés quelques minutes sur le canapé enlacés, épuisés, mais bientôt nous avons regagné notre lit pour de nouvelles caresses.

À Nadia, mai 2006.

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Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 09:41

J’imagine. Tu nous as préparé un bon déjeuner. Et tu m’as dis, il y aura un dessert spécial aujourd’hui.


Tu nous as fait des tomates en salade, spécialement assaisonnées, ail, échalotes, puis un sauté de mouton. Non pas de fromage ce midi ma chérie - j’ai déjà très bien mangé - alors c’est quoi ce dessert.


Tu es en jupe ce qui n’est pas très ordinaire. Une jupe évasée à fleur qui descend à mi-mollet. Tu débarrasses nos assiettes. Reste assis me dis-tu. Tu nettoies la table et tu t’y assois juste en face de moi.

Voilà ton dessert mon chéri me dis-tu, en me prenant la tête pour l’enfouir entre tes cuisses sous ta jupe. Quel dessert savoureux ! Tu sens bon, une senteur de fruit rouge, fraise des bois dirais-je. Je te prends par la taille sous ta jupe. Tu me tiens par les épaules. J’embrasse tes cuisses. Je les lèche. Elles sont si tendre à cet endroit. Je ne suis pas rasé de frais et j’ai peur de rapper ta peau si fragile à l’intérieur de tes cuisses bien que tu aimes parfois cette sensation.

Je m’approche de ton sanctuaire à coup de petits baisers. Tu écartes les cuisses pour mieux m’accueillir et tu passes les jambes sur mes épaules. J'ai la langue sur ton string qui est déjà bien humide. Je le lèche. Je le savoure. Tu as les mains sur ma tête et tu appuies. Je te mordille l’intérieure des cuisses. J’ai la langue qui cherche un passage vers tes grandes lèvres. J’attrape ton string avec les dents et tire comme pour le retirer. Tu gémies, tu râles doucement. Il est temps que nous ôtions cette petite culotte. Les mains en arrière sur la table, tu te soulèves. Je l’ôte et en profite pour te prendre les fesses à pleine main. Et j’ai les lèvres sur ton sexe que je déguste à pleine bouche. Je libère mes mains de ta jupe et les porte à ta poitrine que tu as pris le soin de libérer entre temps. Je te caresse et te pétrie les seins tout en avalant et en léchant goulûment tes grandes lèvres et ton clitoris. Tu vas jouir. Tu jouis. Et dans un dernier cri, tu as refermé les cuisses et tu as basculé en avant te retenant à mes épaules. Je bande énormément. Je libère mon sexe et descends mon pantalon. Je te fais asseoir sur moi, l’un  en face de l’autre. Tu m’enfourches, je te pénètre. Nous restons ainsi un instant l’un dans l’autre. Et puis tu commences un lent mouvement de haut en bas que j’aide les deux mains sous tes fesses. Tu as totalement dévoilé ton torse. Et j’ai beaucoup à faire entre ta bouche, ton cou, ta gorge. Notre mouvement s’amplifie et s’accélère. Nous allons jouir ainsi amoureusement.


Quel fabuleux dessert !

À Nadia, décembre 2005

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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00

 

Je t'ai donné rendez-vous cet après-midi là dans un parking souterrain d'un centre commercial.

Je t'ai demandé de mettre un chemisier et non pas ces pulls ou T-shirt que tu portes habituellement et de te munir d'un large foulard.

J'arrive au parking. Je vois que tu t'es garée un peu à l'écart dans un endroit sombre. Tu veux sans doute tenir secrète nos étreintes.

 

Je me glisse à tes cotés. Tu sembles un peu tendu comme toujours lors des premiers moments de nos rencontres. Nous échangeons un long baiser. Je vois que sous ta veste ouverte tu portes un adorable chemisier qui laisse deviner le soutien-gorge. Et tu as noué autour de ton cou un foulard assorti. Je vois que tu as consenti à mes demandes. Tu consens donc à ce que nos jeux aillent un peu plus loin.

Je trouve que tu t’es mise un peu trop à l’écart et dans un endroit trop sombre. Alors sur ma demande tu redémarres et va te garer entre deux voitures là où il y a un peu plus de lumière et aussi un peu plus de passage.

 

Tout en t’embrassant, je dénoue le foulard. Très joli foulard que tu as là, je crois qu’il ferra tout à fait l’affaire.

 

Alors je t’explique ce que je désire faire. Je vais te nouer les mains dans le dos avec ce foulard, ainsi tu seras un petit peu à ma merci. Et je pense que je vais aller jusqu’à te dénuder la poitrine et t’exhiber ainsi quelque temps dans ce parking. Qu’en penses tu ? Tu sembles hésiter quelques instant. Je te serre doucement dans mes bras et laisse glisser mes lèvres dans ton cou. Dans un souffle tu dis oui. Pour te rassurer nous convenons d’un mot qui si tu le prononces me fera tout arrêter, au cas où tu ne pourrais aller plus loin.

 

Nous échangeons alors un long baiser. Et je commence.

 

Tu mets les bras dans ton dos et je t’attache les poignets avec le foulard. Je te demande de t’asseoir le plus confortablement possible, les jambes écartées, de bien respirer, les épaules bien appuyées sur le dossier. Cette position te fait te cambrer et porte ta poitrine en avant.  J’ouvre largement ta veste pour qu’apparaisse pleinement ton chemisier. Ta poitrine se gonfle me semble t-il et certains boutons semblent près à sortir seuls de la boutonnière.

Un monsieur arrive avec un chariot. J’ai suspendu mes gestes. Tu as rougi un peu me semble t-il. Nous semblions deviser. Il m’a semblé qu’il a tout de même jeté un œil insistant sur ton buste ainsi porté en avant. Il est passé. Je vais pouvoir continuer.

La tête posée sur ton épaule, je te caresse le cou, les joues. Je passe un doigt sur tes lèvres. Tu as fait mine de l’attraper. Et je te dis « je crois que je vais entièrement » dégrafer ton corsage qu’en penses tu ? Tu ne réponds pas mais cherches à mordiller mes lèvres qui sont à ta portée là. Est-ce que je commence par le bas ou par le haut ? Oui ce sera le bas. Je défais un bouton. Je passe la main dans l’échancrure. Je te caresse le nombril. Tu gigotes, tu me dis que tu n'aimes pas trop, ça te chatouille. Alors je me ravise et dégrafe un puis deux boutons du haut. J’écarte les pans du chemisier pour qu’apparaisse la naissance de ta poitrine ornée de la dentelle blanche de ton soutien gorge. Je m’écarte. Toute ta gorge est visible et le haut du soutien gorge.

Un couple approche. Ils déclanchent l’ouverture de leur voiture à distance. Elle n’est pas très loin de nous dans notre allée qu’ils empruntent. Tu t’agites un peu. En passant devant nous ils ne peuvent pas manquer de remarquer ton accoutrement. Au moment où ils vont t’apercevoir, je me penche sur toi pour te donner un baiser sur les lèvres ce qui a pour effet de cacher ce début de nudité à leur regard. Ils s’éloignent sans s’attarder. Le ferais-je la prochaine fois ? Te cacherais-je à quelques regards inquisiteurs ?


Je m’écarte à nouveau. Tu sembles avoir très chaud. Je passe ma main sur le haut de ton torse qui se soulève à ce contact, semblant le chercher.

Je vais continuer à déboutonner ton corsage.


Je prends tout mon temps pour défaire les derniers boutons, tout en déposant de petits baisers par-ci par-là et effleurant du bout des doigts ta peau qui se dévoile. Les boutons sont tout défaits. Tu me fixes du regard te demandant ce que je vais faire maintenant. Tranquillement j’écarte les pans de ton chemisier. Je l’ouvre bien grand. Ton ventre et ta poitrine dans son écrin de dentelles s’offrent à mes regards, à mes caresses, mes baisers. Je m’en régale, y promenant mes lèvres, mes doigts. Tu as de petits rires, de petits gémissements.


Quelqu’un approche, une femme. Je me suis écarté pour te laisser ainsi exposée. Elle est tout près, elle va passer devant nous. Tu me supplies dans un souffle de te couvrir. J’hésite. Mais la voilà passée, rapide, sans nous jeter un regard.


Je reprends mes baisers dans ton cou, sur ta gorge, te caressant le ventre, les seins que je sens se gonfler sous le tissu.

Il est temps d’aller plus loin. De dévoiler cette belle poitrine que tu m’as trop longtemps cachée. Je plonge une main dans un des bonnets du soutien gorge. Je tiens dans la main un merveilleux globe chaud palpitant que je caresse, je presse un moment. J’en sens la pointe se durcir.

Je l’extrais alors de sa cachette. Je sors ce charnel bijou de son étui. Je l’admire tout rond, tout gonflé, le mamelon bien marqué et le téton dressé. Je le caresse doucement du bout des doigts. J’en pince légèrement l’extrémité et j’y porte enfin ma bouche pour longuement le sucer et le baiser.

Tu as la tête portée en arrière et tu respires fortement.


Il faut maintenant libérer son frère. Je plonge la main dans l’autre bonnet. Et je procède de la même façon, caressant et malaxant tout d’abord ce sein dans son enveloppe avant de l’en extraire pour l’offrir à ma vue et à mes lèvres.

Ces deux précieuses rotondités sont maintenant à l’air libre, offertes à mes regards et mes caresses. Ces deux aimables collines juste soutenues par le soutien gorge qui les ceinture en dessous, régales de douceur, de plaisir que je parcours du bout des lèvres, de la pulpe des doigts.

Tu t’es totalement abandonnée, à ton plaisir, à mon plaisir. Tu dodelines de la tête. Tu gémis doucement.


De nouveau, des gens approchent. Ils vont passer dans notre allée. Tu t’es redressée, inquiète. Je me suis écarté, un bras négligemment posé sur tes épaules. Tu me demandes de te couvrir. Vu le peu d’empressement de ma part, tu t’agites, tu essayes de te détacher. Tu me dis que tu ne vas pas pouvoir rester ainsi. Mais nos importuns ont changé d’allée. Ils vont passer derrière nous. Tu t’es figée. Tu ne bouges plus. Tu sembles retenir ta respiration. Je les vois passer dans le rétroviseur. Je les vois sourire. Ils ont l’air de trouver notre comportement un peu étrange. Mais ils s’éloignent sans plus s’attendre. Je te dis que je regrette un peu qu’ils ne soient pas passés par-devant. Ils n’ont pas eu cette chance unique d’admirer tes atours. Tu me réponds que tu n’aurais pas su où te mettre, que tu étais morte de honte. Quitte à plonger dans le fond de la voiture. Mais je t’aurais retenue par les épaules te dis-je avec un doux sourire.


Ce faisant j’ai repris mes caresses, mes baisers et tu t’es apaisée.

M’avisant qu’il est peut-être temps que je m’en aille. Je m’apprête à sortir. Que fais-tu me dis-tu, où vas-tu ? Ben il faut que j’y aille. Mais ne me laisse pas ainsi, libères moi. Non, non, tu es très bien ainsi. Il y aura bien quelqu’un qui viendra te libérer. Je pose un long baiser sur tes lèvres et je sors de la voiture. Je sens bien que dans mon dos, tu t’agites, tu m’appelles, pas trop fort pour ne pas alerter un quelconque passant.


Je me cache derrière un véhicule et t’observe. Tu continues à t’agiter un moment, essayant manifestement de te libérer. Et puis d’un coup tu t’écroules, tu disparais au regard.

J’attends quelques instants. Et comme plus rien ne semble se passer dans la voiture, je reviens.

Tu t’es allongée sur les deux sièges pour cacher ta poitrine, tu sanglotes.

J’ouvre la portière. Tu sursautes. Mais quand tu vois que ce n’est que moi, il y a du soulagement dans ton regard.


Je te redresse et te prends dans mes bras doucement tout en libérant tes poignets.

Tu t’y réfugies. Je te console. Je te caresse et te couvre de baiser. Tu te détends.

J’ai ouvert ton pantalon et glisser une main dans ta culotte pour te donner tout le plaisir que tu mérites.

 
À C. mars 2008

 

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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00
Découverte ; première

Cette sucette pour ma petite gourmande. Qu’elle la savoure tranquillement.

Sportive.

C’est un automne plutôt beau. Peu de pluie, pas de froid. Tu m’as convié à un footing. Ce qui m’a étonné. Je ne te connaissais pas ce goût pour l’exercice physique.

Nous nous sommes donc retrouvés à l’entrée d’un des parcs de la périphérie nantaise où bien du monde maintenant trottine pour s’entretenir.

Tu as mis une tenue parfaitement adaptée à la situation. Les paires de running bien sûr, sur de petites socquettes blanches qui en dépassent à peine. Un short noir qui met bien en valeur ce que l’on devine quand tu te retournes. Un tee-shirt blanc, un peu moulant ai-je trouvé pour ce genre d’exercice. Mais aussi quelque peu transparent et laissant deviner ce genre de soutien-gorge à large dos que mette les sportives pour que leurs seins se tiennent tranquilles.

Tu pars la première je te suis. Ai-je fait exprès, de te suivre. ?

Ainsi puis-je à loisir admirer tes jambes et le ballottement de tes hanches. Et ta chevelure flamboyante qui s’écoule en vague sur tes épaules. Tu mènes bon train. Je m’efforce de te suivre.

Je ne suis pas si bien vêtu que toi. Mon vieux survêtement. J’aurais dû faire un effort. Mettre un short peut-être. Comment te plaire ainsi ?

Nous courrons ainsi l’un derrière l’autre dans les sous-bois, croisant de temps à autres des coureurs isolés ou en groupe.

Au bout d’un bon quart d’heure, première halte. Tu t’assois sur un bouleau à demi abattu. Tu m’invites à te rejoindre pour que l’on souffle un peu. Je me mets à tes cotés. Tu respires fort. Nous avons fait un bel effort. Il émane de toi une odeur musquée, mélange de ton parfum que j’aime tant et de transpiration. Je glisse mon bras gauche dans ton dos pour aller chercher la branche de l’autre coté. Tu peux ainsi t’appuyer dessus. Je suis troublé de sentir ce poids sur mon bras. Nous sommes l’un près de l’autre et je ne peux empêcher ma main droite de se poser sur ta cuisse chaude et moite. Tu me regardes en souriant. Ma main remonte lentement entre tes cuisses légèrement ouvertes. Ta tête s’incline sur mon épaule. Je franchis la barrière du short et remonte encore jusqu’à l’aine où mes doigts rencontrent une autre étoffe. Curieux je soulève lég èrement la main pour laisser mon regard découvrir ce qui est probablement une culotte sage en coton blanc. Je continue mon exploration. Je joue un moment avec quels poils frisés. Mes doigts se font plus pressant. Ils veulent aller plus loin, franchir ce dernier obstacle. Tu me donnes un baiser sur la joue et tu t’échappes. Nous reprenons notre exercice toi devant et moi derrière. J’ai du mal à revenir dans le rythme. Toi, tu files comme un lièvre me lançant de temps en temps un regard amusé.

Et ainsi, un bon quart d’heure avant que tu consentes de nouveau à t’arrêter. Ce coup-ci tu t’adosses à un chêne vénérable. Et tu me regardes arriver en souriant, narquoise. Tu me dis que je devrais courir un peu plus souvent, ce serait bon pour ma ligne. Je te fais face.

J’ai les mains appuyées sur l’arbre de part et d’autre de tes épaules. Je m’approche pour te donner un baiser dans le cou. Il me semble que tu frissonnes. Je m’approche encore pesant de tout mon corps sur le tien, yeux dans les yeux. Je m’écarte juste pour qu’une de mes mains puisse se glisser sous ton tee-shirt ; Je m’attarde sur ton ventre qui se gonfle et se dégonfle au rythme de ta respiration. Je remonte et rencontre cet excès de maintient. Comment caresser ta poitrine si elle est prisonnière ainsi ? J’ai alors dégrafé ton soutien-gorge. J’ai même fait glisser les bretelles sur tes épaules et sur tes bras et j’ai mis ce bandeau répressif dans ma poche.

Maintenant ta poitrine pointe libre et fière. J’en caresse les tétons qui se durcissent sous le tissu. Je sens tes seins se gonfler. Et ma main curieuse ne peut s’empêcher d’aller à leur rencontre sous le tee-shirt.

Mais une nouvelle fois tu t’échappes. Et tu repars me laissant pantois. J’ai maintenant bien du mal à te suivre. Je suis essoufflé.

Mais je voie bien que ces messieurs que nous croisons n’ont d’yeux que pour ce que je viens de libérer et que tu portes fièrement en avant.

Enfin nous retrouvons nos voitures. Tu te mets au volant, moi à tes coté. Le parging est quasiment vide maintenant, en cette fin d’après-midi. Quelques nuages traînent dans le ciel. Il fait sombre. Nous reprenons notre souffle. Tout est calme autour de nous. Je me rapproche de toi. Tu te blottis au creux de mon épaule. Ma main donne libre cours à sa curiosité et à son désir de caresses. Ta poitrine en reçoit l’hommage. Elle est gonflée par l’effort et le désir. Mais je n’oublie pas ton ventre. Et ...

quel plus bel ouvrage pour un homme que de séduire une femme.

quel plus bel hommage pour une femme que d’être séduite

à J. mai 2006

 

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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00
Découverte ; deuxième

Nous nous sommes retrouvés à la sortie du métro. C’est un automne doux et pluvieux. De lourds nuages gris se bousculent dans un ciel bleu pâle. À travers les ruelles nous rejoignons rapidement le jardin du Luxembourg, but de notre promenade. Nous parlons de choses et d’autres.

Dès l’entrée du jardin, nous essayons de trouver un banc libre. Il y a peu de monde en cette fin d’après-midi et notre choix est vite fait. Nous délaissons bien sûr ces multiples chaises. Elles semblent abandonnées le long des allées et autour du grand bassin. Nous préférons un banc un peu à l’écart, seul complice de nos propos. Nous nous asseyons un peu de biais l’un vers l’autre. Et nous continuons nos propos anodins.

Tu me racontes tes années de formation à la Salpêtrière. Nos genoux sont très proches l’un de l’autre et finissent par se toucher. Loin de fuir ce contact nous nous rapprochons un peu plus. J’ai un bras sur le dossier du banc. Et ma main est très proche de ton épaule, de ta nuque. Un moment je me surprends à jouer avec tes cheveux. Tu me laisses faire. Tu me souris.

Tu es en jean, pull de coton grenat, chaussure plate noire et un blouson bleu ciel avec capuche de circonstance. Tu as les mains croisées sur tes cuisses. Tes doigts s’agitent au fil de ton récit. Mes doigts veulent jouer aussi et viennent à la rencontre des tiens. Et pendant que nous parlons nos doigts se joignent et s’entremêlent posés sur ton pantalon.

Absorbé par ton récit, j’observe tes lèvres. Et puis je m’approche. Nos visages sont près l’un de l’autre. Je saisis ton regard. Et soudainement je pose mes lèvres sur tes lèvres et me recule. Tes yeux brillent. Ta main a serré la mienne. Alors je m’enhardis. Et mes lèvres sont sur les tiennes plus longuement, têtes penchées.

Nous devons vite reprendre notre souffle car nos cœurs battent trop vite. Nos mains se serrent fort l’une l’autre sur ta cuisse. Je te caresse la nuque. Tu frisonnes un peu. Nous ne pouvons rester assis. Nous nous levons et marchons dans cette allée de charmes qui commencent à perdre leurs feuilles.

Je n’ai pas envie de perdre ton contact mais je ne sais comment me lier à toi. Te prendre par l’épaule, trop paternaliste, par le bras trop cérémonieux. Te prendre par la main, un peu enfantin. Alors je te prends par la hanche tout naturellement. Tu en fais autant. Nous marchons ainsi tranquillement flan contre flan échangeant de rares mots.

C’est à cet instant qu’un nuage en profite pour se déverser à seau. Nous courons nous réfugier sous un frêle abri vers lequel bon nombre de promeneurs converge. Nous sommes assez nombreux dans peu d’espace. Alors chacun essaie de prendre le moins de place possible. Les gens chuchotent. Il y a quelques rires étouffés. Personne ne semble regretter cette aventure. Là encore, nous nous tenons étroitement hanche contre hanche. Un de tes seins s’écrase sur ma poitrine. Ta tête est sur mon épaule. Nous attendons la fin de l’averse. Tu m’as donné quelques baisers dans le cou et mordillé l’oreille. Et puis nous échangeons un long baiser, comme deux vieux amants sans se soucier de nos voisins. "Un petit coin de parapluie contre un petit coin de paradis je ne perdais pas au change pardi".

Il a bien fallu que la pluie cesse. Tu me dis alors qu’il est temps que tu rentres. Nous repartons vers la sortie du jardin, main dans la main comme deux collégiens. Nous avons rejoins la bouche de métro. Alors je te plaque contre moi. Je t’enserre dans mes bras à te faire mal. Mais tu ne protestes pas. Tu me dévores des yeux. Et nos lèvres s’unissent. Nos langues se cherchent. Elles veulent tout apprendre l’une de l’autre. Et nos cœurs battent fort en nos poitrines. Tu ne peux pas ne pas sentir combien je te désire.

Et puis tu me repousses et te précipites dans la gueule du métro. Au bas des marches tu te retournes soudainement et me lance un baiser de la main. Je n’ai pas le temps de te répondre que tu as disparu.

Tu es partie. Tu as disparu.

Je reste là hébété avec sur mes lèvres le goût de tes lèvres, avec ton parfum, avec sur mon ventre la pression de ton ventre. Je fais demi-tour. Il me faut du temps pour retrouver mon calme. Alors je traverse le jardin de nouveau. Je jette un coup d’œil sur notre banc. Je souris à la vue de notre abri précaire. Quand te reverrais-je ?

À J. mai 2006

Par erog1 - Publié dans : erog1 - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00

 

Nous avons pris le TGV ce soir pour rentrer sur Nantes. Ce fut le bazar pour accéder au train. L’affichage du quai d’embarquement eut lieu au dernier moment. Cependant en un quart d’heure tout le monde était à bord.

Comme nous n’avons pas pris nos billets ensemble, nous n’avons pas de place côte à côte. Un aimable voyageur me céda sa place. Nous avons deux heures à nous, deux heures pour bavarder, deux heures pour se frôler. Nous sommes près l’un de l’autre, l’accoudoir central baissé. Seuls nos coudes se touchent. Tu es tout de noir vêtue comme à ton habitude, toujours très élégante.

Lorsque les gens se sont enfin installés. Nous pouvons parler tranquillement et comme nous ne tenons pas à ce qu’on nous entende, nos visages se sont rapprochés, nos épaules se sont touchées. Je te respire. J’admire ton profil, tes cheveux, ton oreille ornée d’une boucle, la fine ligne de tes lèvres et de temps en temps tes yeux lumineux. J’aurais aimé que l’on soit face à face comme du temps des trains à compartiments.

Mon esprit s’est mis à divaguer, m’imaginant montant dans un de ces anciens trains. Je cherche un compartiment libre. Mais il n’y en a pas. Dans l’un, juste trois personnes, dont une jeune femme dans le coin fenêtre, dans le sens de la marche. Je m’installe face à elle. Elle te ressemble, même silhouette menue, même cheveux auburn, même yeux marron clairs. C’est une belle fin de journée, chaude. Elle est en jupe légère et chemisier transparent à manche courte. Je me suis excusé en m’installant. Elle a souri en rangeant ses pieds chaussés de sandales légères. Elle lit un magazine féminin. Moi je sommeille. Mais en fait, je ne cesse de la regarder les yeux mi-clos. Pour mieux me reposer j’allonge mes jambes. Et les secousses du train font que de temps en temps nos pieds se touchent. Elle ne semble pas s’en offusquer. À un arrêt nos deux compagnons de voyage s’éclipsent. Personne ne les remplace. Je me redresse un peu et essaye de lancer la conversation, bien sûr pour commencer sur la chaleur. Tu poses ton magazine et nous parlons de choses et d’autres. Nous nous sommes mis face à face. Il arrive que nos jambes se touchent, nos genoux même. Tu n’en prends pas ombrage. Bien au contraire ce jeu semble te plaire. Un moment tu croises les jambes. Tu les croises même très haut et ta jupe remonte. Mon regard n’arrive pas à se détacher de la blancheur de cette longue cuisse, belle cuisse musclée. Tes cuisses fermement croisées me donnent la liberté de les admirer à loisir mais ne me permettent pas de voir autre chose. Je suis rester tellement longtemps à les admirer que je dois rougir lorsque mes yeux remontent vers ton visage. Tu souris. Il me semble même, que tu as dégrafé le haut de ton corsage. Maintenant la naissance de tes seins apparaît ainsi que la fine dentelle d’un soutien-gorge crème. Nous continuons notre conversation. À un moment, sous l’effet de la chaleur peut-être, tu décroises tes jambes et tu t’étires faisant saillir une poitrine prometteuse. Je ne sais comment cela s’est passé mais en étirant mes jambes à mon tour, elles se retrouvent placées entre les tiennes. Tu tiens tes cuisses serrées. J’ai très envie de les écarter. Je ne sais comment tu vas réagir. Crier au scandale peut-être. Mais j’en ai vraiment trop envie. Alors doucement, en te regardant dans les yeux, j’écarte les jambes pour forcer les tiennes à s’ouvrir. Tu te laisses faire sans trop de résistance. Et petit à petit tes cuisses s’ouvrent. J’ai plongé mon regard. J’ai même l’impression que tu as remonté un peu ta jupe. Et le triangle blanc de ta petite culotte m’est dévoilé. Alors tu te penches en avant et poses tes mains sur mes genoux et remontes...

C’est à ce moment que tu me pousses du coude et me dis « tu rêves ». Je me retrouve dans le TGV. Mon état d’excitation n’a pas dû t’échapper car tu poses ta main sur mon genou. Tu me regardes et me souris. Je pose ma main sur la tienne. Il fait vraiment trop chaud dans ce train. Tu enlèves la petite veste qui te couvrait les épaules. Elles sont nues maintenant. En te réinstallant tu as relevé l’accoudoir central et tu t’es rapprochée. Nous sommes épaule contre épaule, cuisse contre cuisse. Malgré la toile de nos pantalons, je sens nettement la chaleur de ta cuisse. Bien sûr ton visage est si près que je ne peux m’empêcher de frôler de ma bouche, tes cheveux, ton oreille, ta bouche. Nos mains se prennent. Nos doigts se croisent. Tu appuies ta tête sur mon épaule, et moi ma joue sur tes cheveux. Brusquement nous échangeons un bref baiser. Mon désir est intense. Alors tu me dis que tu as sommeil et que tu aimerais mettre ta tête sur mes genoux. Nous nous installons ainsi. Tu t’allonges à demi en travers de la banquette. Ta tête repose en bas de mon ventre. J’ai une main sur ta hanche que je caresse doucement. Peut-être descendrais-je vers tes fesses. Tu glisses une main sous ta joue en guise d’oreiller. Ta main est sur mon sexe et ne reste pas inactive...

À J. mai 2006

 

Par erog1 - Publié dans : erog1 - Communauté : Ecritures Sensuelles
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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00

 

C’est un beau samedi après-midi d’automne. Nous nous promenons dans les rues piétonnes, désœuvrés. Il y a beaucoup de monde. Ce n’était peut-être pas le jour idéal pour flâner en ville. Nous regardons les vitrines. Ferons-nous un peu de shopping ?

Tu regardes attentivement les vitrines des magasins de mode. Peut-être trouveras une petite jupe ou un ensemble à ton goût ?

Nous passons devant une boutique de lingerie (www.darjeeling.fr, www.arabesque-lingerie.com, publicité gratuite, mdr). Tu ne sembles pas très intéressée. Je m’y arrête pourtant et je t’invite à y entrer. Trouveras-tu là quelques jolis dessous qui pourront agrémenter nos rencontres. Et puis j’ai envie de te voir essayer quelques-uns un de ces ravissants petits bouts de tissus qui coûtent si chers.

C’est une boutique un peu ancienne tenue par deux dames d’un certain âge. Il y règne un curieux désordre. Les articles sont disposés dans de vastes bacs ou sur des cintres sur des portants. La boutique semble désuète pourtant on y trouve de tout et à la dernière mode. Tu te prends au jeu et décide d’essayer quelques soutiens-gorges. Avec l’aide d’une des vendeuses, tu choisis quelques modèles dans des tons bleus, des modèles plutôt classiques, fonctionnels. Et tu te diriges vers une cabine, refermant soigneusement le rideau derrière toi et me laissant seul désœuvré dans la boutique. Peu d’homme accompagne leur femme ici. Je ne sais où porter le regard. Tous ses sous-vêtements, certains très sexy m’invitent à les détailler mais je n’ose. Quelques femmes vont d’un bac à l’autre, hésitantes où même semblant se cacher. Peut-être n’osent-elles pas me monter ce qu’elles aimeraient porter. La vendeuse ouvre, un peu brusquement me semble t-il, le rideau de ta cabine pour te demander si tout se passe bien. Tu es le torse nu. Tu portes un soutien-gorge très simple dont tu essayes d’ajuster les bretelles. J’ai le temps d’en apercevoir les bonnets bien remplis. Tu as été surprise mais la vendeuse très professionnelle te dit que ce modèle te va très bien. Il te soutient parfaitement. Il est très confortable. Tout en refermant le rideau elle t’encourage à en essayer d’autres. Et puis elle se dirige vers moi, me disant que tu es tout à fait ravissante dans ce modèle mais que si je souhaite te voir en essayer d’autres elle te les portera. J’hésite lui disant que je préfère que tu choisisses toi-même. Elle me convie alors à parcourir le calendrier de chez Aubade qu’elles viennent de recevoir, les leçons de séduction. Elle me dit qu’il est magnifique. On le trouve d’ailleurs en librairie. Tu as écarté le rideau pour n’y passer que la tête. Tu appelles la vendeuse, un des soutien-gorges ne te va pas bien, trop grand ? Tu demandes à le changer. La vendeuse s’approche écarte de nouveau le rideau. Tu as la poitrine nue que tu masques d’un bras. Oui, je vais vous chercher la taille en dessous et elle se dirige vers un bac. Elle a laissé le rideau entrouvert. Tu me souris le bras en travers de la poitrine attendant patiemment qu’elle veuille bien revenir. Je te souris. Je te regarde, tes épaules, la naissance de tes seins, ton ventre. Elle revient avec d’autres modèles plus aériens me semble t-il, plus transparent, plus de dentelles. Elle referme le rideau et vient vers moi. Voulez-vous prendre un café où un thé me demande-elle ? Surpris par une si aimable intention, j’hésite, peut-être un thé. Et emporter par mon élan je regrette qu’il n’existe pas de salon d’essayage privé où je pourrais attendre confortablement en buvant ce thé. À mon grand étonnement elle me dit que si, elles ont un petit salon et si madame veut bien s’y rendre, elle se fera un plaisir de m’y conduire et de m’y servir du thé. Je m’approche de la cabine te parle à travers le rideau que tu écartes. Tu as le buste pris dans un ravisant petit soutien-gorge noir très ajouré. Je te fais part de la proposition de la vendeuse. Tu hésites un moment puis tu acquiesces en souriant. Bien sur, tu y seras plus à l’aise me dis-tu ? La vendeuse nous ouvre une porte tout à coté de la cabine. Tu t’y glisses emportant tes affaires et les soutiens-gorges que tu comptes encore essayer. C’est une toute pièce tendue d’un velours pourpre avec un sofa, une table basse, un paravent et une grande psyché. La vendeuse t’invite à te changer derrière le paravent. Puis s’esquive et revient bientôt avec un plateau sur lequel sont une théière marocaine et deux tasses. Une auréole de vapeur s’échappe de la théière parfumant la pièce d’une senteur orientale. Tu as enfilé un magnifique soutien gorge à corbeille en dentelles parme. Tu te regardes dans le miroir, d’un coté puis de l’autre me demandant ce que j’en pense. Confortablement installé dans le sofa, je regarde ton dos puis deux petits globes merveilleusement mis en valeur. Oui c’est ravissant annote la vendeuse, cela irait très bien avec un slip coordonné. Je te dis que tu devrais essayer. Tu sembles hésiter un peu et puis tu acquiesces. Je vais vous chercher cela madame dit-elle. Et elle retourne dans la boutique. Alors vraiment tu le trouves bien me demandes-tu ? Bien sûr tu es ravissante. Je ne peux détourner mes yeux de ton buste et ces deux petites barques qui contiennent tes ravissants petits seins. Je n’ose porter la tasse à mes lèvres de crainte dans l’émotion de ne pas y arriver. La vendeuse est revenue. Tu t’es éclipsée derrière le paravent, nous t’attendons. Elle t’a proposée plusieurs modèles, du string à la grande culotte. Que vas-tu choisir ?

Tu es de nouveau à t’admirer devant le miroir. C’est un tanga il me semble que tu portes, une large dentelle devant, mais peu de tissus derrière, juste ce qu’il faut pour séparer et mettre en valeur les deux lobes de tes fesses. C’est absolument ravissant. Tu fais quelque pas un peu hésitante. Je suis totalement sous le charme. Notre hôtesse : "oui cela vous va très bien. Portez-vous des bas ? Nous avons un très joli porte jarretelle assorti". Et pourquoi pas réponds tu un peu rouge de confusion tout en buvant quelque goutte de thé. "Je vais vous chercher cela". Tu es debout devant moi. Tu portes la tasse à tes lèvres. Je devine dans la transparence du tanga l’ombre de ton pubis. La blancheur de tes cuisses nues m’ensorcelle. Ton ventre bat au rythme de la respiration. Mon désir ne fait plus guère de doute. Elle est revenue avec ce nouvel accessoire et une paire de bas noir qu’elle prépare pour que tu les enfiles et ne te laisse même pas rejoindre le paravent t’aidant à fixer le porte-jarretelles dans le dos. Tu t’assoies à mes cotés pour mettre les bas et les fixer. Puis tu te diriges vers le miroir pour te voir. En toute apparence tu te plais ainsi les jambes gainées de noir puis une bande de peau blanche. Puis les secrets de ton sexe voilés de dentelle. Et ton ventre encore nu. Et tes seins fièrement maintenus. Tu as les joues un peu rouges mais tu rayonnes de joie.

La vendeuse semble apprécier. Elle intervient de nouveau : « nous avons aussi une guêpière ». Tu hésites. Je t’encourage à essayer. Elle s’éloigne. Tu t’approches et je te caresse la cuisse. La douceur de la soie me grise. Une légère toux, la vendeuse est là avec de nouveaux articles dans les bras. Plus de paravent maintenant, elle t’invite à ôter le soutien-gorge et t’aide à passer la guêpière. Mais il semble que ce premier modèle soit trop juste, elle n’arrive pas à fermer les attaches dans le dos. Tu as du mal à respirer. J’ai bien fait d’apporter la taille au-dessus dit-elle. Tu te débarrasses de cette camisole. Tes seins jaillissent, content d’être libérés. J’ai tout le temps de les admirer. Le second modèle te convient bien mieux. Elle l’agrafe dans le dos pendant que tu l’ajuste par-devant. Tu refixes les bas à la guêpière. Ils avaient roulé sur tes cuisses. Tu places confortablement tes seins dans les réceptacles. Ils sont gonflés. L’auréole des mamelons affleure au-dessus du bord de dentelle. Tes tétons sont prêts à en jaillir. Ta taille est finement ciselée. Tu es plus que ravissante.

Tu te regardes dans la psyché. Je ne perds pas une miette de ce spectacle. L’ondulation de tes épaules. Le frémissement de tes fesses nues. Le léger ballottement de tes seins. La douceur de tes cuisses gainée de soie.

Je vous laisse choisir nous dit la vendeuse, nous laissant seules. Tu t’approches de moi tout en séduction, roulant légèrement des hanches à la matière d’un mannequin. Je ne peux résister à la tentation. Je t’attrape par la main et te fais asseoir sur mes genoux. Nous nous embrassons longuement. Je caresse délicatement ton ventre et ta poitrine pour apprendre la douceur du tissu.

Tu te loves dans mes bras et ma main s’insinue entre tes cuisses.

De nouveau une toux, nous sursautons. Tu te relèves précipitamment, cherchant à cacher ta confusion. Je me redresse dans le sofa essayant de masquer mon érection.

Bientôt nous sommes de nouveau dans la rue, à moitié courant et gloussant comme des enfants fuyant la dernière bêtise qu’ils ont faite. Je t’ai offert cette magnifique parure gage de prochains émois.

À J. juin 2006

 

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Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00

 

lui : tu m’as invité à prendre le café.

elle : ah bon !

lui : chez toi. Me voilà installé dans ton living room, sur ton divan et tu es partie dans la cuisine nous préparer un peu de ce nectar.

elle : avec ou sans sucre ? M’as-tu demandé avant de t’éclipser.

lui : sans sucre, il y a des années que je ne mets plus de sucre. Je m’installe confortablement dans ton divan. J’ai ôté ma veste. C’est curieux aujourd’hui tu es très chiquement habillée. Tu t’apprêtais à sortir peut-être. Un tailleur que je ne te connaissais pas.

elle : un tailleur rose fuchsias

lui : jupe droite, veste, et de légers talons sur des bas sombres. Oui c’est ça, rose fuchsias ! Je t’entends préparer notre breuvage dans la cuisine, je commence à sentir même cette bonne odeur de café qui commence à passer. Tu reviens avec 2 tasses et leur soucoupe et tu les poses sur la petite table basse qui me fait face. Ha tu as oublié les cuillères. Tu me demandes si je veux quelques petits gâteaux. Non, non pas trop de douceur, essayons de garder la ligne tout de même. Tu retournes à la cuisine et reviens avec deux fines cuillères. Tu as aussi mis un parfum qui n’est pas habituel mais qui s’harmonise bien avec l’odeur du café. Je m’interroge mais où comptes-tu aller ainsi ? À quel rdv secret ? Ou est-ce pour moi ? Le temps que le café passe, tu te tiens debout non loin de moi, nous parlons. Placé comme je le suis, mon regard est à la hauteur de tes genoux et je ne peux qu’admirer tes jambes finement gainées. Tu as de très jolies jambes d’ailleurs et de fines chevilles. Tu ne m’as pas habituée à les voir, tu es plus souvent en pantalon. Je ne veux pas me montrer trop indiscret et relève la tête. Tu as un drôle de petit sourire. Ne le ferais-tu pas exprès de rester là debout à mes cotés. Je n’ai presque qu’à étendre la main pour te toucher. Et puis la cafetière ne faisant plus de bruit, tu me tournes le dos et retournes à la cuisine, me laissant admirer ta silhouette menue et ta démarche féline. Tu reviens avec une cafetière semblable aux tasses. Tu nous sers. Et tu t’assois sur une chaise en face de moi. Pourquoi ne pas venir à mes cotés sur le canapé ? Tu me surplombes un peu ainsi, assise bien droite les jambes bien serrées. N’y a t-il pas un peu de provocation ? Tu connais bien mon coté un peu voyeur. Tu sais très bien que j’ai du mal à quitter du regard de belles jambes. Que je suis très attiré par le dessous des jupes, essayant d’y voir plus qu’il n’est permis. Comme aimanté par ce que vous, femme, vous essayez de nous cacher à tout prix. Je décide qu’il faut me montrer sous les meilleurs auspices. Et j’essaye, avec beaucoup de peine, de maintenir mon regard sur ton visage. Merveilleux visage, fine bouche, yeux étonnamment brillants. Mais décidément il est difficile de ne pas regarder tes genoux que tu viens de lever en te mettant sur la pointe des pieds. Ils sont là sous mon nez recouvert de ce satin. Tu tournes tranquillement la cuillère dans ta tasse et la porte délicatement à tes lèvres. Tu croises les jambes. Décidément il m’est de plus en plus difficile de garder mon regard levé. Je bois alors une gorgée de café ce qui me permet d’avoir les yeux sur ton charmant dessous de cuisse. Il me semble que tu les croises bien haut maintenant. Ce sont donc des bas qui tiennent tout seul que tu portes là. J’en vois la partie plus sombre qui en permet le maintient. J’en devine la limite. Et puis en posant ta tasse sur la table, tu te penches en avant et décroises les jambes. Ce fut un instant très fugitif, tes cuisses légèrement ouvertes, l’échancrure de ton corsage. Je ne savais où donner du regard. Tu te redresses et remets une jambe sur l’autre. Mais cette fois, c’est le mollet qui est sur le genou, tes mains croisées sur l’autre genou, un peu penché en avant. Il suffirait que tu portes ton buste en arrière pour me dévoiler bien des secrets. Je n’ose m’imaginer ce que tu portes dessous. Tout en parlant, maintenant tu te balances d’avant en arrière. Je dois être rouge d’émotion. Je fixe ton visage n’osant plus bouger. Je te sens si près de moi. Il émane de toute ta personne une odeur musquée. Peut-être décides-tu à cet instant de cesser ce jeu du chat et de la souris. Et tu viens t’assoire à mes cotés. Je respire mieux. J’aime te sentir à mes cotés. Tu n’as pas pu ne pas remarquer mon érection. Est-ce malice ou simple geste de complicité, tout en me parlant, tu as posé brièvement à plusieurs reprises ta main sur ma cuisse, très haut. Ce qui n’a pas pour effet de calmer mon excitation. J’essaye de me détendre et m’étire un peu, passant un de mes bras derrière ta tête et jouant des doigts avec tes cheveux dans ce geste de complicité que nous avons eu déjà à plusieurs reprises. Tu t’approches alors et me donnes un rapide baiser dans le cou. Ce qui permet de détendre un peu l’atmosphère. Alors à mon tour je m’approche à nous toucher pour renforcer notre complicité. Je te demande si tu comptes sortir. J’ai une main sur ton genou. Tu me dis que oui mais que tu as encore du temps. Je te mange des yeux. Ma main s’agite sur ton genou elle aimerait bien s’aventurer sous ta jupe. J’essaye de la glisser entre tes cuisses. Mais tu les tiens bien fermées me retenant prisonnier. Juste le bout de mes doigts a quelque liberté. Je les contracte puis les relâche pressant ainsi ta peau dont je tente de deviner le velouté au travers des bas. Je pose un discret baiser au creux de ton cou. Je m’enivre de ton parfum.

elle : Je m’enivre aussi de ton parfum, tout en renversant la tête en arrière pour mieux sentir tes lèvres descendre le long de mon cou jusqu’à mon décolleté. Tes baisers ne se font plus discrets mais insistants. Et j’aime ça. Tes mains ne sont pas restées inactives. Elles ne s’intéressent plus pour l’instant à mes cuisses. Elles ont déboutonné ma veste lentement. En fait je ne sais plus le temps qu’elles ont mis à me découvrir car tes lèvres m’enivrent. Je frissonne. Ma veste tombe et découvre mes épaules que tu t’empresses de caresser. Je capte ton regard et dans le même temps je commence aussi à te déshabiller. Ta chemise, bouton après bouton, s’ouvre enfin. Je commence à avoir très chaud et ma respiration s’accélère. Seul mon caraco de soie fait maintenant barrière entre nous. Je sens une certaine impatience qui monte en moi. Une douce impatience. Tout à coup je repense à mon rendez-vous ! Pourquoi maintenant ? Mes idées se brouillent. Je crois que je te repousse gentiment mais je me ravise bien vite. Je t’attire à nouveau vers moi. Mes jambes s’entrouvrent. En fait, mon rendez-vous aujourd’hui ce sera toi. Il m’est impossible de me détacher de toi, de ton odeur, de ta peau. Tes mains qui ont du sentir mon bref éloignement, se font plus douces encore en atteignant mes seins. Pourquoi ai-je mis ce caraco si difficile à ôter ! Mais ta voix au creux de mon oreille se fait douce et me rassure : « doucement, nous avons le temps, j’ai compris ton désir ». Je te souris. J’émets un long soupir de bien être. Oui nous avons le temps.

lui : J’ai ôté ta veste de tailleur rose fuchsia. Dessous tu ne portes qu’un caraco de soie mauve. J’adore la douceur de la soie. J’ai mes lèvres dans ton cou que je parcours par petites touches. Je caresse tes épaules nues et le haut de tes bras. Je te tiens serrée contre moi. Ta poitrine m’intéresse, le haut de ta gorge tout d’abord, nue que j’effleure du bout des doigts et puis tes seins que je caresse par-dessus l’étoffe, cette douce étoffe. Je prends chacun de tes seins l’un après l’autre à pleine main comme une belle orange (ou pamplemousse) pour les caresser et les pétrir. Ils gonflent, affirment leur rondeur. Tu as de petits gémissements et tu te cambres. Je les pétris et en fait jaillir leur extrémité que je roule entre deux doigts. Tu as une main sur mon ventre qui est douce ou féline. Tes ongles veulent parfois y tracer leur sillon. Du plat de la main, sur chacun de tes seins, je les écrase et les fais rouler et puis les reprend à pleine main pour les presser encore. Mes lèvres sur tes épaules, mes lèvres dans ton cou. J’ai extrais ton caraco de ta jupe. Et je caresse ton ventre sous l’étoffe. Il se tend, se soulève et s’abaisse vivement. Je remonte vers tes seins pour les caresser et les pétrir de nouveau. Ils sont lourds. Ils sont dressés. Tu te cambres de plus en plus, la tête rejetée en arrière. Je t’embrasse sous le menton. Je te lèche les épaules. Bien sur mes lèvres aimeraient goûter tes seins mais attendons encore un peu pour remonter ton caraco. Tu as une main dans mon dos qui cherche à s’infiltrer plus bas. Tes doigts se font pressant. Tu remontes vers mes épaules pour les saisir à pleine main. Je redescends vers ton ventre que je palpe, que je malaxe et caresse en tout sens. Je veux m’aventurer vers ton pubis mais la ceinture de ta jupe ne me laisse pas passer, juste deviner. Puis j’essaye sur le coté par l’aine. J’y trouve beaucoup de douceur mais ce ne sera pas là non plus mon chemin. Alors je passe par le bas et ma main s’immisce entre tes cuisses légèrement ouvertes jusqu’à la bande auto-fixante de tes bas. J’y trouve, une grande douceur et une chaleur moite. Tu t’agites sur le canapé. Tu cherches ma bouche. Je parcours tes lèvres de la langue. J’ai l’intérieur de ta cuisse dans ma main. Et là encore alternativement je la presse ou la caresse soit sur le bas, soit plus haut. J’ai l’impression que tu aimerais écarter tes cuisses plus encore mais ta jupe bien que remontée ne le permet pas. J’ai maintenant très envie d’ôter ta jupe. Je me mets alors à la recherche du zip. ...

À J. mai 2006

 

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