Cette sucette pour ma petite gourmande. Qu’elle la savoure tranquillement.
Sportive.
C’est un automne plutôt beau. Peu de pluie, pas de froid. Tu m’as convié à un footing. Ce qui m’a étonné. Je ne te connaissais pas ce goût pour l’exercice physique.
Nous nous sommes donc retrouvés à l’entrée d’un des parcs de la périphérie nantaise où bien du monde maintenant trottine pour s’entretenir.
Tu as mis une tenue parfaitement adaptée à la situation. Les paires de running bien sûr, sur de petites socquettes blanches qui en dépassent à peine. Un short noir qui met bien en valeur ce que l’on devine quand tu te retournes. Un tee-shirt blanc, un peu moulant ai-je trouvé pour ce genre d’exercice. Mais aussi quelque peu transparent et laissant deviner ce genre de soutien-gorge à large dos que mette les sportives pour que leurs seins se tiennent tranquilles.
Tu pars la première je te suis. Ai-je fait exprès, de te suivre. ?
Ainsi puis-je à loisir admirer tes jambes et le ballottement de tes hanches. Et ta chevelure flamboyante qui s’écoule en vague sur tes épaules. Tu mènes bon train. Je m’efforce de te suivre.
Je ne suis pas si bien vêtu que toi. Mon vieux survêtement. J’aurais dû faire un effort. Mettre un short peut-être. Comment te plaire ainsi ?
Nous courrons ainsi l’un derrière l’autre dans les sous-bois, croisant de temps à autres des coureurs isolés ou en groupe.
Au bout d’un bon quart d’heure, première halte. Tu t’assois sur un bouleau à demi abattu. Tu m’invites à te rejoindre pour que l’on souffle un peu. Je me mets à tes cotés. Tu respires fort. Nous avons fait un bel effort. Il émane de toi une odeur musquée, mélange de ton parfum que j’aime tant et de transpiration. Je glisse mon bras gauche dans ton dos pour aller chercher la branche de l’autre coté. Tu peux ainsi t’appuyer dessus. Je suis troublé de sentir ce poids sur mon bras. Nous sommes l’un près de l’autre et je ne peux empêcher ma main droite de se poser sur ta cuisse chaude et moite. Tu me regardes en souriant. Ma main remonte lentement entre tes cuisses légèrement ouvertes. Ta tête s’incline sur mon épaule. Je franchis la barrière du short et remonte encore jusqu’à l’aine où mes doigts rencontrent une autre étoffe. Curieux je soulève lég èrement la main pour laisser mon regard découvrir ce qui est probablement une culotte sage en coton blanc. Je continue mon exploration. Je joue un moment avec quels poils frisés. Mes doigts se font plus pressant. Ils veulent aller plus loin, franchir ce dernier obstacle. Tu me donnes un baiser sur la joue et tu t’échappes. Nous reprenons notre exercice toi devant et moi derrière. J’ai du mal à revenir dans le rythme. Toi, tu files comme un lièvre me lançant de temps en temps un regard amusé.
Et ainsi, un bon quart d’heure avant que tu consentes de nouveau à t’arrêter. Ce coup-ci tu t’adosses à un chêne vénérable. Et tu me regardes arriver en souriant, narquoise. Tu me dis que je devrais courir un peu plus souvent, ce serait bon pour ma ligne. Je te fais face.
J’ai les mains appuyées sur l’arbre de part et d’autre de tes épaules. Je m’approche pour te donner un baiser dans le cou. Il me semble que tu frissonnes. Je m’approche encore pesant de tout mon corps sur le tien, yeux dans les yeux. Je m’écarte juste pour qu’une de mes mains puisse se glisser sous ton tee-shirt ; Je m’attarde sur ton ventre qui se gonfle et se dégonfle au rythme de ta respiration. Je remonte et rencontre cet excès de maintient. Comment caresser ta poitrine si elle est prisonnière ainsi ? J’ai alors dégrafé ton soutien-gorge. J’ai même fait glisser les bretelles sur tes épaules et sur tes bras et j’ai mis ce bandeau répressif dans ma poche.
Maintenant ta poitrine pointe libre et fière. J’en caresse les tétons qui se durcissent sous le tissu. Je sens tes seins se gonfler. Et ma main curieuse ne peut s’empêcher d’aller à leur rencontre sous le tee-shirt.
Mais une nouvelle fois tu t’échappes. Et tu repars me laissant pantois. J’ai maintenant bien du mal à te suivre. Je suis essoufflé.
Mais je voie bien que ces messieurs que nous croisons n’ont d’yeux que pour ce que je viens de libérer et que tu portes fièrement en avant.
Enfin nous retrouvons nos voitures. Tu te mets au volant, moi à tes coté. Le parging est quasiment vide maintenant, en cette fin d’après-midi. Quelques nuages traînent dans le ciel. Il fait sombre. Nous reprenons notre souffle. Tout est calme autour de nous. Je me rapproche de toi. Tu te blottis au creux de mon épaule. Ma main donne libre cours à sa curiosité et à son désir de caresses. Ta poitrine en reçoit l’hommage. Elle est gonflée par l’effort et le désir. Mais je n’oublie pas ton ventre. Et ...
quel plus bel ouvrage pour un homme que de séduire une femme.
quel plus bel hommage pour une femme que d’être séduite
à J. mai 2006
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