Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00

 

lui : tu m’as invité à prendre le café.

elle : ah bon !

lui : chez toi. Me voilà installé dans ton living room, sur ton divan et tu es partie dans la cuisine nous préparer un peu de ce nectar.

elle : avec ou sans sucre ? M’as-tu demandé avant de t’éclipser.

lui : sans sucre, il y a des années que je ne mets plus de sucre. Je m’installe confortablement dans ton divan. J’ai ôté ma veste. C’est curieux aujourd’hui tu es très chiquement habillée. Tu t’apprêtais à sortir peut-être. Un tailleur que je ne te connaissais pas.

elle : un tailleur rose fuchsias

lui : jupe droite, veste, et de légers talons sur des bas sombres. Oui c’est ça, rose fuchsias ! Je t’entends préparer notre breuvage dans la cuisine, je commence à sentir même cette bonne odeur de café qui commence à passer. Tu reviens avec 2 tasses et leur soucoupe et tu les poses sur la petite table basse qui me fait face. Ha tu as oublié les cuillères. Tu me demandes si je veux quelques petits gâteaux. Non, non pas trop de douceur, essayons de garder la ligne tout de même. Tu retournes à la cuisine et reviens avec deux fines cuillères. Tu as aussi mis un parfum qui n’est pas habituel mais qui s’harmonise bien avec l’odeur du café. Je m’interroge mais où comptes-tu aller ainsi ? À quel rdv secret ? Ou est-ce pour moi ? Le temps que le café passe, tu te tiens debout non loin de moi, nous parlons. Placé comme je le suis, mon regard est à la hauteur de tes genoux et je ne peux qu’admirer tes jambes finement gainées. Tu as de très jolies jambes d’ailleurs et de fines chevilles. Tu ne m’as pas habituée à les voir, tu es plus souvent en pantalon. Je ne veux pas me montrer trop indiscret et relève la tête. Tu as un drôle de petit sourire. Ne le ferais-tu pas exprès de rester là debout à mes cotés. Je n’ai presque qu’à étendre la main pour te toucher. Et puis la cafetière ne faisant plus de bruit, tu me tournes le dos et retournes à la cuisine, me laissant admirer ta silhouette menue et ta démarche féline. Tu reviens avec une cafetière semblable aux tasses. Tu nous sers. Et tu t’assois sur une chaise en face de moi. Pourquoi ne pas venir à mes cotés sur le canapé ? Tu me surplombes un peu ainsi, assise bien droite les jambes bien serrées. N’y a t-il pas un peu de provocation ? Tu connais bien mon coté un peu voyeur. Tu sais très bien que j’ai du mal à quitter du regard de belles jambes. Que je suis très attiré par le dessous des jupes, essayant d’y voir plus qu’il n’est permis. Comme aimanté par ce que vous, femme, vous essayez de nous cacher à tout prix. Je décide qu’il faut me montrer sous les meilleurs auspices. Et j’essaye, avec beaucoup de peine, de maintenir mon regard sur ton visage. Merveilleux visage, fine bouche, yeux étonnamment brillants. Mais décidément il est difficile de ne pas regarder tes genoux que tu viens de lever en te mettant sur la pointe des pieds. Ils sont là sous mon nez recouvert de ce satin. Tu tournes tranquillement la cuillère dans ta tasse et la porte délicatement à tes lèvres. Tu croises les jambes. Décidément il m’est de plus en plus difficile de garder mon regard levé. Je bois alors une gorgée de café ce qui me permet d’avoir les yeux sur ton charmant dessous de cuisse. Il me semble que tu les croises bien haut maintenant. Ce sont donc des bas qui tiennent tout seul que tu portes là. J’en vois la partie plus sombre qui en permet le maintient. J’en devine la limite. Et puis en posant ta tasse sur la table, tu te penches en avant et décroises les jambes. Ce fut un instant très fugitif, tes cuisses légèrement ouvertes, l’échancrure de ton corsage. Je ne savais où donner du regard. Tu te redresses et remets une jambe sur l’autre. Mais cette fois, c’est le mollet qui est sur le genou, tes mains croisées sur l’autre genou, un peu penché en avant. Il suffirait que tu portes ton buste en arrière pour me dévoiler bien des secrets. Je n’ose m’imaginer ce que tu portes dessous. Tout en parlant, maintenant tu te balances d’avant en arrière. Je dois être rouge d’émotion. Je fixe ton visage n’osant plus bouger. Je te sens si près de moi. Il émane de toute ta personne une odeur musquée. Peut-être décides-tu à cet instant de cesser ce jeu du chat et de la souris. Et tu viens t’assoire à mes cotés. Je respire mieux. J’aime te sentir à mes cotés. Tu n’as pas pu ne pas remarquer mon érection. Est-ce malice ou simple geste de complicité, tout en me parlant, tu as posé brièvement à plusieurs reprises ta main sur ma cuisse, très haut. Ce qui n’a pas pour effet de calmer mon excitation. J’essaye de me détendre et m’étire un peu, passant un de mes bras derrière ta tête et jouant des doigts avec tes cheveux dans ce geste de complicité que nous avons eu déjà à plusieurs reprises. Tu t’approches alors et me donnes un rapide baiser dans le cou. Ce qui permet de détendre un peu l’atmosphère. Alors à mon tour je m’approche à nous toucher pour renforcer notre complicité. Je te demande si tu comptes sortir. J’ai une main sur ton genou. Tu me dis que oui mais que tu as encore du temps. Je te mange des yeux. Ma main s’agite sur ton genou elle aimerait bien s’aventurer sous ta jupe. J’essaye de la glisser entre tes cuisses. Mais tu les tiens bien fermées me retenant prisonnier. Juste le bout de mes doigts a quelque liberté. Je les contracte puis les relâche pressant ainsi ta peau dont je tente de deviner le velouté au travers des bas. Je pose un discret baiser au creux de ton cou. Je m’enivre de ton parfum.

elle : Je m’enivre aussi de ton parfum, tout en renversant la tête en arrière pour mieux sentir tes lèvres descendre le long de mon cou jusqu’à mon décolleté. Tes baisers ne se font plus discrets mais insistants. Et j’aime ça. Tes mains ne sont pas restées inactives. Elles ne s’intéressent plus pour l’instant à mes cuisses. Elles ont déboutonné ma veste lentement. En fait je ne sais plus le temps qu’elles ont mis à me découvrir car tes lèvres m’enivrent. Je frissonne. Ma veste tombe et découvre mes épaules que tu t’empresses de caresser. Je capte ton regard et dans le même temps je commence aussi à te déshabiller. Ta chemise, bouton après bouton, s’ouvre enfin. Je commence à avoir très chaud et ma respiration s’accélère. Seul mon caraco de soie fait maintenant barrière entre nous. Je sens une certaine impatience qui monte en moi. Une douce impatience. Tout à coup je repense à mon rendez-vous ! Pourquoi maintenant ? Mes idées se brouillent. Je crois que je te repousse gentiment mais je me ravise bien vite. Je t’attire à nouveau vers moi. Mes jambes s’entrouvrent. En fait, mon rendez-vous aujourd’hui ce sera toi. Il m’est impossible de me détacher de toi, de ton odeur, de ta peau. Tes mains qui ont du sentir mon bref éloignement, se font plus douces encore en atteignant mes seins. Pourquoi ai-je mis ce caraco si difficile à ôter ! Mais ta voix au creux de mon oreille se fait douce et me rassure : « doucement, nous avons le temps, j’ai compris ton désir ». Je te souris. J’émets un long soupir de bien être. Oui nous avons le temps.

lui : J’ai ôté ta veste de tailleur rose fuchsia. Dessous tu ne portes qu’un caraco de soie mauve. J’adore la douceur de la soie. J’ai mes lèvres dans ton cou que je parcours par petites touches. Je caresse tes épaules nues et le haut de tes bras. Je te tiens serrée contre moi. Ta poitrine m’intéresse, le haut de ta gorge tout d’abord, nue que j’effleure du bout des doigts et puis tes seins que je caresse par-dessus l’étoffe, cette douce étoffe. Je prends chacun de tes seins l’un après l’autre à pleine main comme une belle orange (ou pamplemousse) pour les caresser et les pétrir. Ils gonflent, affirment leur rondeur. Tu as de petits gémissements et tu te cambres. Je les pétris et en fait jaillir leur extrémité que je roule entre deux doigts. Tu as une main sur mon ventre qui est douce ou féline. Tes ongles veulent parfois y tracer leur sillon. Du plat de la main, sur chacun de tes seins, je les écrase et les fais rouler et puis les reprend à pleine main pour les presser encore. Mes lèvres sur tes épaules, mes lèvres dans ton cou. J’ai extrais ton caraco de ta jupe. Et je caresse ton ventre sous l’étoffe. Il se tend, se soulève et s’abaisse vivement. Je remonte vers tes seins pour les caresser et les pétrir de nouveau. Ils sont lourds. Ils sont dressés. Tu te cambres de plus en plus, la tête rejetée en arrière. Je t’embrasse sous le menton. Je te lèche les épaules. Bien sur mes lèvres aimeraient goûter tes seins mais attendons encore un peu pour remonter ton caraco. Tu as une main dans mon dos qui cherche à s’infiltrer plus bas. Tes doigts se font pressant. Tu remontes vers mes épaules pour les saisir à pleine main. Je redescends vers ton ventre que je palpe, que je malaxe et caresse en tout sens. Je veux m’aventurer vers ton pubis mais la ceinture de ta jupe ne me laisse pas passer, juste deviner. Puis j’essaye sur le coté par l’aine. J’y trouve beaucoup de douceur mais ce ne sera pas là non plus mon chemin. Alors je passe par le bas et ma main s’immisce entre tes cuisses légèrement ouvertes jusqu’à la bande auto-fixante de tes bas. J’y trouve, une grande douceur et une chaleur moite. Tu t’agites sur le canapé. Tu cherches ma bouche. Je parcours tes lèvres de la langue. J’ai l’intérieur de ta cuisse dans ma main. Et là encore alternativement je la presse ou la caresse soit sur le bas, soit plus haut. J’ai l’impression que tu aimerais écarter tes cuisses plus encore mais ta jupe bien que remontée ne le permet pas. J’ai maintenant très envie d’ôter ta jupe. Je me mets alors à la recherche du zip. ...

À J. mai 2006

 

Par erog1 - Publié dans : erog1
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