Mercredi 12 mars 3 12 /03 /Mars 00:00

 

Je t'ai donné rendez-vous cet après-midi là dans un parking souterrain d'un centre commercial.

Je t'ai demandé de mettre un chemisier et non pas ces pulls ou T-shirt que tu portes habituellement et de te munir d'un large foulard.

J'arrive au parking. Je vois que tu t'es garée un peu à l'écart dans un endroit sombre. Tu veux sans doute tenir secrète nos étreintes.

 

Je me glisse à tes cotés. Tu sembles un peu tendu comme toujours lors des premiers moments de nos rencontres. Nous échangeons un long baiser. Je vois que sous ta veste ouverte tu portes un adorable chemisier qui laisse deviner le soutien-gorge. Et tu as noué autour de ton cou un foulard assorti. Je vois que tu as consenti à mes demandes. Tu consens donc à ce que nos jeux aillent un peu plus loin.

Je trouve que tu t’es mise un peu trop à l’écart et dans un endroit trop sombre. Alors sur ma demande tu redémarres et va te garer entre deux voitures là où il y a un peu plus de lumière et aussi un peu plus de passage.

 

Tout en t’embrassant, je dénoue le foulard. Très joli foulard que tu as là, je crois qu’il ferra tout à fait l’affaire.

 

Alors je t’explique ce que je désire faire. Je vais te nouer les mains dans le dos avec ce foulard, ainsi tu seras un petit peu à ma merci. Et je pense que je vais aller jusqu’à te dénuder la poitrine et t’exhiber ainsi quelque temps dans ce parking. Qu’en penses tu ? Tu sembles hésiter quelques instant. Je te serre doucement dans mes bras et laisse glisser mes lèvres dans ton cou. Dans un souffle tu dis oui. Pour te rassurer nous convenons d’un mot qui si tu le prononces me fera tout arrêter, au cas où tu ne pourrais aller plus loin.

 

Nous échangeons alors un long baiser. Et je commence.

 

Tu mets les bras dans ton dos et je t’attache les poignets avec le foulard. Je te demande de t’asseoir le plus confortablement possible, les jambes écartées, de bien respirer, les épaules bien appuyées sur le dossier. Cette position te fait te cambrer et porte ta poitrine en avant.  J’ouvre largement ta veste pour qu’apparaisse pleinement ton chemisier. Ta poitrine se gonfle me semble t-il et certains boutons semblent près à sortir seuls de la boutonnière.

Un monsieur arrive avec un chariot. J’ai suspendu mes gestes. Tu as rougi un peu me semble t-il. Nous semblions deviser. Il m’a semblé qu’il a tout de même jeté un œil insistant sur ton buste ainsi porté en avant. Il est passé. Je vais pouvoir continuer.

La tête posée sur ton épaule, je te caresse le cou, les joues. Je passe un doigt sur tes lèvres. Tu as fait mine de l’attraper. Et je te dis « je crois que je vais entièrement » dégrafer ton corsage qu’en penses tu ? Tu ne réponds pas mais cherches à mordiller mes lèvres qui sont à ta portée là. Est-ce que je commence par le bas ou par le haut ? Oui ce sera le bas. Je défais un bouton. Je passe la main dans l’échancrure. Je te caresse le nombril. Tu gigotes, tu me dis que tu n'aimes pas trop, ça te chatouille. Alors je me ravise et dégrafe un puis deux boutons du haut. J’écarte les pans du chemisier pour qu’apparaisse la naissance de ta poitrine ornée de la dentelle blanche de ton soutien gorge. Je m’écarte. Toute ta gorge est visible et le haut du soutien gorge.

Un couple approche. Ils déclanchent l’ouverture de leur voiture à distance. Elle n’est pas très loin de nous dans notre allée qu’ils empruntent. Tu t’agites un peu. En passant devant nous ils ne peuvent pas manquer de remarquer ton accoutrement. Au moment où ils vont t’apercevoir, je me penche sur toi pour te donner un baiser sur les lèvres ce qui a pour effet de cacher ce début de nudité à leur regard. Ils s’éloignent sans s’attarder. Le ferais-je la prochaine fois ? Te cacherais-je à quelques regards inquisiteurs ?


Je m’écarte à nouveau. Tu sembles avoir très chaud. Je passe ma main sur le haut de ton torse qui se soulève à ce contact, semblant le chercher.

Je vais continuer à déboutonner ton corsage.


Je prends tout mon temps pour défaire les derniers boutons, tout en déposant de petits baisers par-ci par-là et effleurant du bout des doigts ta peau qui se dévoile. Les boutons sont tout défaits. Tu me fixes du regard te demandant ce que je vais faire maintenant. Tranquillement j’écarte les pans de ton chemisier. Je l’ouvre bien grand. Ton ventre et ta poitrine dans son écrin de dentelles s’offrent à mes regards, à mes caresses, mes baisers. Je m’en régale, y promenant mes lèvres, mes doigts. Tu as de petits rires, de petits gémissements.


Quelqu’un approche, une femme. Je me suis écarté pour te laisser ainsi exposée. Elle est tout près, elle va passer devant nous. Tu me supplies dans un souffle de te couvrir. J’hésite. Mais la voilà passée, rapide, sans nous jeter un regard.


Je reprends mes baisers dans ton cou, sur ta gorge, te caressant le ventre, les seins que je sens se gonfler sous le tissu.

Il est temps d’aller plus loin. De dévoiler cette belle poitrine que tu m’as trop longtemps cachée. Je plonge une main dans un des bonnets du soutien gorge. Je tiens dans la main un merveilleux globe chaud palpitant que je caresse, je presse un moment. J’en sens la pointe se durcir.

Je l’extrais alors de sa cachette. Je sors ce charnel bijou de son étui. Je l’admire tout rond, tout gonflé, le mamelon bien marqué et le téton dressé. Je le caresse doucement du bout des doigts. J’en pince légèrement l’extrémité et j’y porte enfin ma bouche pour longuement le sucer et le baiser.

Tu as la tête portée en arrière et tu respires fortement.


Il faut maintenant libérer son frère. Je plonge la main dans l’autre bonnet. Et je procède de la même façon, caressant et malaxant tout d’abord ce sein dans son enveloppe avant de l’en extraire pour l’offrir à ma vue et à mes lèvres.

Ces deux précieuses rotondités sont maintenant à l’air libre, offertes à mes regards et mes caresses. Ces deux aimables collines juste soutenues par le soutien gorge qui les ceinture en dessous, régales de douceur, de plaisir que je parcours du bout des lèvres, de la pulpe des doigts.

Tu t’es totalement abandonnée, à ton plaisir, à mon plaisir. Tu dodelines de la tête. Tu gémis doucement.


De nouveau, des gens approchent. Ils vont passer dans notre allée. Tu t’es redressée, inquiète. Je me suis écarté, un bras négligemment posé sur tes épaules. Tu me demandes de te couvrir. Vu le peu d’empressement de ma part, tu t’agites, tu essayes de te détacher. Tu me dis que tu ne vas pas pouvoir rester ainsi. Mais nos importuns ont changé d’allée. Ils vont passer derrière nous. Tu t’es figée. Tu ne bouges plus. Tu sembles retenir ta respiration. Je les vois passer dans le rétroviseur. Je les vois sourire. Ils ont l’air de trouver notre comportement un peu étrange. Mais ils s’éloignent sans plus s’attendre. Je te dis que je regrette un peu qu’ils ne soient pas passés par-devant. Ils n’ont pas eu cette chance unique d’admirer tes atours. Tu me réponds que tu n’aurais pas su où te mettre, que tu étais morte de honte. Quitte à plonger dans le fond de la voiture. Mais je t’aurais retenue par les épaules te dis-je avec un doux sourire.


Ce faisant j’ai repris mes caresses, mes baisers et tu t’es apaisée.

M’avisant qu’il est peut-être temps que je m’en aille. Je m’apprête à sortir. Que fais-tu me dis-tu, où vas-tu ? Ben il faut que j’y aille. Mais ne me laisse pas ainsi, libères moi. Non, non, tu es très bien ainsi. Il y aura bien quelqu’un qui viendra te libérer. Je pose un long baiser sur tes lèvres et je sors de la voiture. Je sens bien que dans mon dos, tu t’agites, tu m’appelles, pas trop fort pour ne pas alerter un quelconque passant.


Je me cache derrière un véhicule et t’observe. Tu continues à t’agiter un moment, essayant manifestement de te libérer. Et puis d’un coup tu t’écroules, tu disparais au regard.

J’attends quelques instants. Et comme plus rien ne semble se passer dans la voiture, je reviens.

Tu t’es allongée sur les deux sièges pour cacher ta poitrine, tu sanglotes.

J’ouvre la portière. Tu sursautes. Mais quand tu vois que ce n’est que moi, il y a du soulagement dans ton regard.


Je te redresse et te prends dans mes bras doucement tout en libérant tes poignets.

Tu t’y réfugies. Je te console. Je te caresse et te couvre de baiser. Tu te détends.

J’ai ouvert ton pantalon et glisser une main dans ta culotte pour te donner tout le plaisir que tu mérites.

 
À C. mars 2008

 

Par erog1 - Publié dans : erog1 - Communauté : Ecritures Sensuelles
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